Après l’installation proprement dite, il reste quelques éléments à configurer. Définissez le mot de passe de l’administrateur (root) :

Puis vient le réglage de l’heure du système. Indiquez que votre horloge n’est pas en UTC, sélectionnez l’Europe puis la France et acceptez l’abréviation CEST.
Tiens, c’est l’heure d’activer les DAEMONs facultatifs. Eh oui, FreeBSD, c’est daemoniaque.

Avec la barre d’Espace, cochez ou décochez les DAEMONs de votre choix.
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sshd permet de vous connecter à cet ordinateur depuis un autre, de manière sécurisée, via la ligne de commande ou un logiciel comme PuTTY. Si vous n’avez pas besoin de contacter cet ordinateur à distance, sachez qu’il est encore plus sûr de ne pas activer cette fonctionnalité du tout. À vous de voir. Elle est quand même très bien sécurisée.
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moused est indispensable pour que votre souris fonctionne.
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ntpd, comme indiqué, assure la synchronisation de votre horloge système avec un serveur public.
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powerd permet de réduire votre consommation d’électricité. Ne vous en privez pas.
Après, on vous propose d’activer les crashdumps. En cas de bug, cet outil sert à générer un rapport destiné à l’équipe de FreeBSD. Autant dire qu’il sert très rarement.
Dernière étape : la création d’utilisateurs ordinaires, avec le programme adduser. Créez au moins un compte ordinaire pour vous-mêmes. Voici une manière de répondre. N’oubliez surtout pas de vous inviter dans le groupe wheel. Seuls les utilisateurs inscrits dans ce groupe peuvent utiliser la commande su pour devenir root et accomplir des tâches d’administration. Quand vous ne répondez pas à une question, la réponse entre crochets est choisie par défaut. Rien ne s’affiche quand vous saisissez votre mot de passe, mais vous avez l’habitude, à présent.

Lisez le petit récapitulatif, confirmez et indiquez si vous voulez créer d’autres utilisateurs.
C’est fini. Retirez votre média d’installation et redémarrez.